qui nous sommes ?

C’est nous deux (Emanuela et Maurizio) Nous travaillons avec des méthodes presque médiévales, en privilégiant la simplicité du travail et des formes, nous utilisons presque toujours et uniquement : une enclume et un marteau, des pinces, des pinces, des limes et beaucoup d’huile de coude et de bonne volonté !

Les métaux que nous travaillons sont principalement le cuivre, l’argent, le laiton et parfois le bronze pour réaliser des bijoux : colliers, bagues, bracelets, bracelets de cheville… et puis grâce à l’expérience des Laboratoires Urania nous continuons à développer la gamme de produits thérapeutiques : le dernier né est un excellent pansement chauffant contre les tensions musculaires, en cuivre, cire vierge et huile de chanvre… Pour obtenir de l’aide, écrivez-nous et nous vous aiderons à trouver ce que vous cherchez : – info@urania-europa.com –

Qui l’a fait ? Maurizio Peruzzi a toujours été un artisan Fils en 1956) – et immédiatement orphelin (en 1958) – d’un homme dont on disait « qu’il avait les mains d’or ». Des mains qui étaient son seul héritage. Il venait de la basse Vénétie, c’était au début des années 50, avec sa jeune épouse et son premier enfant. C’étaient ceux de la crue du Polesine en 51…. J’ai commencé à utiliser mes mains immédiatement, avant l’âge de dix ans. Tous les petits travaux autour de la maison étaient les miens. une véritable passion dans laquelle mon guide était ma mère qui m’a appris – avant tout – l’épargne, l’épargne, la récupération : tout est bon, rien n’est jeté, ce que l’on appellera plus tard « le recyclage ». Puis déjà à seize ans pendant la période de l’institut technique (à Molinari) Je suis dans la boutique d’un sudiste, sous ma maison : mais c’est un merveilleux sudiste ! Un architecte napolitain qui m’accueille, me « prend » comme un fils/étudiant (parce que je savais faire des nœuds et donc, selon lui, j’étais efficace et bien rangé – et bien sûr j’étais bien mieux organisé que lui !). Il s’appelait Salvatore Esposito, alias Nazareno Noja. Sa boutique était « MalaModa », je me demande si quelqu’un s’en souvient encore ?). Il m’a appris plus de ses mains que quiconque jusqu’à ce que… les enfants doivent « tuer le père » (Œdipe) Je suis allé ouvrir boutique seul, Via Bergamo a Milan. J’ai travaillé seize ans : le cuir, le papier, la toile, le bois et tout ce qui s’est passé (fer, argent, nylon, caoutchouc…). Puis je suis devenu accro au cuivre et maintenant cela fait vingt ans et plus. De nombreux événements de la vie m’ont distrait, m’ont éloigné des pistes « économiques », sinon débordé (tous les beignets ne réussissent pas avec le trou !) et maintenant j’exprime, je vais essayer ! toute mon expérience et mes compétences dans les choses que je fais.